Notre histoire
Charles Guenette a établi le Salon Funéraire Guenette dans la décennie 1930. Il obtint sa licence de l’Ontario à la Canadian School of Embalming de Toronto en 1934. Cinq des enfants de Charles ont travaillé avec lui, dont François, Jean-Jacques, Jacqueline, Maurice, et Paul, exploitant des salons funéraires à Kapuskasing, Hearst et Timmins, de même qu’une quincaillerie, une cour à bois et d’autres petites entreprises de la région, établies par Charles. Dans la décennie 1950, Jacqueline et son époux Jean-Noël ont acheté le salon funéraire de Hearst et ont lancé le Salon Funéraire Lafrance. Les garçons de Charles ont constitué une corporation pour exploiter les entreprises sous le nom Guenette Brothers lorsque leur père prit sa retraite. En 1974, les frères sont partis chacun de son côté, l’un gérant la quincaillerie, l’autre la cour à bois, tandis que François géra le salon funéraire à Kapuskasing et Paul devint gérant du salon funéraire à Timmins.
En 1986, François offrit à Jules Joly la possibilité d’acheter une partie des actions du salon funéraire de Kapuskasing. Jules accepta l’offre et, quatre années par après, se porta acquéreur du reste des actions, devenant ainsi le propriétaire unique. Au fil des quelques années suivantes, Jules apporta d’importantes rénovations à l’intérieur du bâtiment, puis construisit une annexe afin de rendre l’immeuble accessible à tous.
Au fil des ans, le Salon Funéraire Guenette a continué à évoluer en adoptant de nouvelles technologies, mettant en œuvre de nouvelles politiques et se tenant au courant des besoins des familles, et cela se reflète par les prix obtenus. La Chambre de Commerce de Kapuskasing et du District a reconnu le Salon Funéraire Guenette en 1997 en décernant le prix « Homme d’affaires de l’année » à Jules Joly. En 2003, l’entreprise a reçu le prix du « Meilleur site web d’affaires » et, en 2004, le prix « Meilleur service à la clientèle » fut décerné à Allain Dandenault. En 2005, le salon funéraire fut nommé récipient du « Prix Phénix Ontario Nord » par la Chambre Économique de l'Ontario pour son excellence entrepreneuriale en français.
En 2015, Allain Dandenault a acquis le salon funéraire. Sa vision était non seulement d’en poursuivre l’héritage, mais également de maintenir le niveau de services et de soins offerts à la communauté. Dans cet esprit, Allain a entrepris d'importantes rénovations afin de moderniser les installations, tout en y préservant l’atmosphère accueillante et réconfortante. Cela comprenait la construction d’un nouveau garage, ainsi qu’un crématorium, et de nombreuses améliorations apportées afin que les familles se sentent soutenues, dans un lieu autant fonctionnel que respectueux de leurs besoins en temps de deuil.
Allain a servi un nombre incalculable de familles avec compassion, professionnalisme et bienveillance, établissant ainsi des liens de confiance et des relations durables au sein de la communauté. Son dévouement a contribué à faire du salon funéraire un lieu où les gens se sentent véritablement compris et soutenus.
En 2025, après plus de 30 ans de service, y compris une décennie comme propriétaire, Allain a décidé de prendre sa retraite. C’est alors que Patrice Lambert et Karelle Bélanger se sont portés acquéreurs du salon funéraire. Le couple partage la même passion : accompagner les familles, en ces moments parmi les plus difficiles de la vie. Animés d’un profond respect de cet héritage reçu, Patrice et Karelle s’engagent à poursuivre la tradition d’excellence, tout en insufflant une énergie nouvelle et des idées novatrices dans l’avenir du salon funéraire.
Leur vision comprend non seulement de maintenir le niveau élevé de soins, que le salon offre depuis plusieurs années, mais continuer également d’améliorer et rénover les lieux de façons réfléchies et significatives. En desservant chaque famille qu’ils accompagnent, Patrice et Karelle demeurent guidés par la compassion, le respect et le sens de communauté — veillant à ce que le salon funéraire demeure un lieu de confiance et de réconfort pendant des générations à venir.
